Auteur :
Rachid C.
mardi 09 avril 2019 10:39
Arrivé cet hiver en provenance du TP Mazambé, Landry Ntankeu, qui s’est engagé avec les Sang et Or pour une durée de dix-huit mois, est annoncé avec insistance sur le départ. N’ayant pas réussi à s’adapter au championnat algérien et muet depuis qu’il a débarqué lors du mois de janvier dernier, il ne devrait pas faire long feu. C’est ce qu’une source généralement bien informée nous a assuré hier. Affaire à suivre...
Il a eu une discussion avec les responsables
Non retenu lors des deux précédentes confrontations remportées face au Mouloudia et le MOB et cela malgré les nombreuses absences enregistrées en attaque, le joueur camerounais n’entre clairement pas dans les plans de Mohamed Lacet. D’après nos informations, il a été convoqué dernièrement par les dirigeants nahdistes qui lui ont signifié qu’ils ne souhaitent plus le garder jusqu’à la fin de saison et que pour son intérêt et celui du Nasria aussi, il est préférable que son contrat soit résilié le plus rapidement possible.
Il a exigé la présence de son avocat
Très compréhensif, Landry Ntankeu aurait exigé tout d’abord la présence de son avocat. Chose qui reste tout de même légitime puisque présent lors de la signature du contrat, c’est ce dernier qui pourra lui assurer que tout se déroulera dans les règles. Actuellement préoccupé par la rencontre de la mise à jour de la 22e journée du championnat qui aura lieu demain face à Sidi Bel Abbes contre l’équipe locale, les responsables ont donc décidé de lui fixer un autre rendez-vous pour les jours à venir.
Les deux parties ne devraient pas tarder à trouver un accord
Ayant déjà reçu une avance importante au moment où il a paraphé son contrat, l’attaquant camerounais et ses représentants entretiennent de bonnes relations avec la direction husseindéenne. Comme c’était le cas lors de son arrivée, où tout a été finalisé dans un laps de temps très réduit, les négociations pour la résiliation de son contrat ne devraient pas être serrées. En effet, les Sang et Or comptent lui demander de rendre une partie des salaires qu’il a empochés en contrepartie d’une résiliation de contrat à l’amiable.
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