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jeudi 29 décembre 2016 18:45
Samir Nasri se serait bien passé d'une telle polémique. Alors qu'il retrouve son meilleur niveau au FC Séville, où il est prêté par Manchester City, le Français est dans la tourmente depuis mardi soir. En effet dans la nuit de mardi à mercredi, le compte Twitter de l'ancien joueur de l'Olympique de Marseille a été piraté.
Et alors qu'en entreprise spécialisée dans les vitamines et les remèdes de remise en forme le mentionnait sur le réseau social (DripDoctors), le compte du joueur a remercié l'entreprise pour "ses services sexuels" également. Alors que l'auteur de ce piratage semble être Anara Atanes (la petite amie ou ex-petite amie désormais), cette dispute de couple a alerté l'agence antidopage espagnole (AEPSAD). Selon El Pais, l'agence aurait ouvert une enquête par rapport au traitement par intraveineuse reçu par Nasri lors de son passage dans ce centre de soin situé à Los Angeles.
Interrogé par l'AFP, une source de l'AEPSAD a expliqué que ce traitement était suspect : "suite à la parution de cette information, l’Agence a déclenché une enquête pour savoir de quel traitement il s’agit. La présence d’un sportif dans une clinique comme celle-ci est suspecte en tant que telle." En raison à cette suspicion de dopage, DripDoctors a tenu à réagir en expliquant le traitement en question.
"C'est une perfusion qui permet de stimuler votre système immunitaire et de prévenir des maladies. Il contient des doses élevées de vitamine C, de vitamines B, de lysine et de zinc combinées avec des nutriments spécialement formulés pour aider à combattre les superbactéries et les virus courants", explique le centre de soin californien. Selon les règles de l'Agence mondiale antidopage, les traitements par intraveineuses sont tolérés tant qu'ils ne contiennent pas de produit interdit et qu'ils n'excèdent pas les 50 millilitres. L'AEPSAD attend désormais Nasri pour qu'il justifie ce traitement et son contenu. Source Goal.com
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