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jeudi 10 avril 2014 19:01
Dimanche 13 avril, lors de la 112e édition de Paris-Roubaix , Fabian Cancellara, 33 ans, sera l’homme à battre. A la veille de la « reine des classiques », celui que l’on surnomme « Spartacus » livre son regard sur une course qu’il connaît par cœur, et dont on dit qu'il faut six mois pour la préparer et six mois pour s'en remettre: "Sans pavés, ce serait juste une course plate, normale. Mais c’est l’une des plus dures de l’année, et la chance est un facteur plus important qu’ailleurs pour éviter les crevaisons et les chutes. On a un vélo qui ne sert que pour cette course. Il est plus long que ceux qu’on utilise habituellement, les deux roues sont plus espacées, les pneus sont plus grands, c’est plus stable sur les pavés. Disons que si notre vélo habituel était une Smart, celui de Roubaix serait une Mercedes 500 classe S. Et puis il y a les douches sous le vélodrome de Roubaix [à l’arrivée], c'est quelque chose qu’un coureur doit vivre au moins une fois dans sa carrière."
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Cancellara.