Auteur :
H. R.
jeudi 15 novembre 2018 12:07
Cette rencontre Togo-Algérie, qui se jouera sur une pelouse en synthétique, au stade municipal, posera un petit problème pour Djamel Belmadi qui ne connaît pas ce genre de pelouse. Seulement, pour beaucoup de joueurs de la sélection nationale, cela ne posera aucun problème. En effet, les Verts ont évolué sur ce genre de pelouse à trois reprises ces quatre dernières années. C’était à Blantyre, au Malawi, à Victoria aux Seychelles, et enfin au Lesotho.
Même les expatriés s’y sont habitués
Les joueurs évoluant à l’étranger connaissent le tartan. Les Taïder, Benzia, Feghouli, Mbolhi et les autres s’y sont habitués. Il faut dire que c’est un avantage pour la sélection nationale, donc un atout considérable pour Djamel Belmadi qui a programmé hier une séance sur une pelouse en synthétique du Centre technique de Sidi Moussa, pour se préparer à cette confrontation face aux Eperviers. Une séance qui a permis aux joueurs d’avoir les repères nécessaires sur ce genre de pelouse.
Au Lesotho, la victoire a été acquise difficilement à cause de la pelouse
La pelouse du stade municipal de Lomé se trouve dans un état lamentable. En effet, Emmanuel Adebayor avait refusé de revenir en sélection, à cause du mauvais état de la pelouse. Il aura fallu l’intervention du sélectionneur, Claude Le Roy, qui l’a convaincu de revenir sur sa décision. Les Verts, qui ont souffert de ce problème au Lesotho, ont gagné difficilement lors des cinq dernières minutes du match, car le contrôle du ballon et même sa circulation ont posé un énorme problème.
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Mbolhi toujours sous contrôle médical
Le doute persiste toujours quant à la participation du gardien de but de l’EN, Raïs Mbolhi, qui ne s’est pas entraîné hier avec le groupe. Il est resté sous contrôle médical. Le staff médical de l’EN est en train de suivre avec beaucoup d’attention l’état du portier des Verts.
On prépare Doukha
Le staff technique est en train de préparer le gardien de but d’Al Raed, Azzedine Doukha. Le staff technique veut le préparer pour parer à toute mauvaise surprise du fait que l’EN a déjà vécu pareille situation lors de la CAN-2017.
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