Auteur :
T.Che
dimanche 17 juin 2018 08:01
Comme prévu dans un troisième round de négociations, Amir Karaoui, accompagné de son frère, a rencontré Kamel Kaci Saïd dans le but de trouver un accord qui accoucherait d’une prolongation de contrat. Comptant sur une nouvelle offre du directeur sportif du club, Karaoui s’est finalement heurté à l’inflexibilité de l’homme fort du Doyen. En effet, Kaci Saïd n’a pas changé de position en maintenant son offre de 140 millions de centimes qui sera le salaire d’Amir qui attendait encore un petit effort de sa direction. Finalement, les deux hommes se sont séparés dos à dos sans parvenir à un accord.
Vu le salaire proposé, Amir refuse de prolonger son bail
Face à ce statu quo, Amir Karaoui ne semble nullement motivé à prolonger en percevant cette somme d’environ 140 millions de centimes alors qu’il avait le plus gros salaire dans l’histoire du club. Il est évident qu’avec Kamel Kaci Saïd, il était révolu ce temps où les joueurs touchaient des salaires mirobolants. C’est une page qui se tourne et avec probablement celle de Karaoui. Ce dernier à dû rallier la France pour passer la fête de l’Aïd El Fitr sans convenir à un accord. Il faut dire que Karaoui refuse de repartir pour deux nouvelles saisons moyennant un salaire inférieur à 150 millions de centimes par mois.
Et pourtant, Casoni insiste lourdement pour garder son gladiateur
Considérant Amir Karaoui comme l’âme de l’équipe avec son état d’esprit et son sens du dévouement, Bernard Casoni suit avec minutie l’évolution de ce dossier. D’ailleurs, l’ancien Marseillais n’a jamais caché son désir et son envie de garder Karaoui. Seulement, le technicien français n’a pas droit au chapitre car le dossier touche l’aspect financier qui dépasse de loin ses prérogatives. Casoni croise donc les doigts et espère que Karaoui et Kaci Saïd parviennent à un accord synonyme de prolongation de contrat. Rappelons qu’au niveau des cadres, il ne reste que le dossier Karaoui pour boucler l’affaire après avoir conclu avec Chaâl, Bouhenna, Mebarakou, Hachoud et Azzi.
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