Auteur :
T. Che
jeudi 05 juin 2014 20:52
Alors qu’on aurait pu penser que le deuxième round de négociations entre Fawzi Chaouchi et la direction du club n’allait être qu’une simple formalité, tout a viré au vinaigre lorsque Hariti et son état major ont refusé d’accéder aux revendications du joueur qui voulait signer le même contrat que celui établi avec Boumella. Ayant buté sur une décision inflexible de Hariti, Chaouchi a fini par quitter le siège du club en colère.
Alors que Fawzi a exigé 220 millions, la direction lui en a offert 170
On sait tous que Chaouchi devait percevoir un salaire mensuel de 220 millions bien qu’il revienne d’une suspension d’une saison. Mais voilà, un nouveau rebondissement est venu tout remettre en question. Tout comme pour Hachoud, la direction a imposé à Chaouchi de prendre à sa charge le payement de l’IRG. De ce fait, Fawzi percevrait alors un salaire de 170 millions ce qui ne l’a pas du tout enthousiasmé au point de claquer la porte.
Boumella avait mentionné une clause dans son contrat, ce qui l’a irrité
L’une des raisons qui a irrité Chaouchi concerne l’une des clauses de l’ancien contrat signé sous l’ère Boumella. En effet, le joueur n’a pas remarqué qu’il fallait s’acquitter de la somme d’un milliard de centimes en cas d’un départ vers un club étranger. Une condition mentionnée en petits caractères sur le contrat du joueur. Ayant eu le sentiment d’avoir été berné par Boumella, cela a eu pour effet d’accentuer la colère de l’enfant de Bordj Menaïel qui a quitté les lieux séance tenante.
Serrar et Laïb veulent le recruter
Ayant eu aussitôt vent qu’il n’a pas conclu avec le Mouloudia, Chaouchi a été contacté par le président de l’USMBA, Abdelhakim Serrar qui insiste pour le faire venir à Bel Abbès. Idem pour le boss de l’USMH, Mohamed Laïb, qui veut faire taire la grogne de la rue en recrutant Chaouchi pour pallier le départ de Doukha. Les deux présidents seraient prêts à casser leur tirelire pour s’attacher les services de l’ex-international.
«Je veux revenir au club mais je n’accepte pas qu’on me fasse du chantage !»
«Oui, je le dis et je le redis, j’ai vraiment envie de revenir au Mouloudia, pour les Chnaoua. J’aime ce club que je porte dans mon cœur. Mais je ne peux accepter qu’on me fasse du chantage, comme c’est le cas avec la direction actuelle», nous a lancé sur un ton coléreux le héros d’Oum Dourman.
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Bordj Menaïel.