Auteur :
K. L.
mardi 07 mars 2017 21:49
Décidément, il ne se passe une semaine sans qu’on entende parler d’une blessure du Malgache Amada, qui a passé le plus clair de son temps cette saison à l’infirmerie que sur les terrains. Le joueur a de sérieux soucis physiques depuis l’entame de l’exercice en cours et cela pose des interrogations. Comme on le sait, le joueur s’est blessé une énième fois, vendredi passé, face au RCR, où il a dû céder sa place en seconde période à Aït Ouamar. Une blessure à la cheville qui va l’obliger à observer une longue période de convalescence. En effet, après avoir effectué les examens nécessaires, les résultats n’ont pas été réconfortants. On a diagnostiqué une élongation des tendons de la cheville, une blessure assez sérieuse qui nécessite dans un premier temps un repos total et une immobilisation de la cheville pendant un certain temps. Selon nos informations, on a posé une attelle au joueur qu’il ne devra pas enlever avant 21 jours. Cette attelle va lui éviter une éventuelle rupture des ligaments, ce qui l’obligerait à passer sur le billard et compliquer son cas.
Le joueur est effondré
Une très mauvaise nouvelle pour l’équipe, surtout pour Amada qui a reçu un sérieux coup au moral. Dans sa tête, la saison est déjà finie pour lui. Car cette période de repos de 21 jours pourrait être prolongée si nécessaire. Après, il va falloir commencer une phase de rééducation, puis de remise en forme. En tout, son absence, selon l’évolution de l’état de sa cheville, pourrait durer entre 45 jours et 60 jours et c’est pour ça que le Malgache ne va pas bien. Il est possible, toutefois, qu’il revienne avant la fin de la saison.
Madoui : «Son absence ne va pas nous pénaliser»
L’entraîneur de l’ESS s’est exprimé hier sur le cas d’Amada en se montrant solidaire avec son joueur. Il dira : «Nous sommes très solidaires avec lui et j’espère qu’il reviendra le plus tôt possible. J’aurais aimé bénéficier de ses services, mais son absence ne va pas trop nous pénaliser pour le moment. Nous disposons d’autres solutions, car nous avons un effectif assez riche qui nous permet de faire face à ce genre de défections».
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