Auteur :
Hamza R
jeudi 31 mars 2016 21:09
Vingt quatre après la discussion qui a eu lieu entre le président de la FAF et Christian Gourcuff et au cours de laquelle, ce dernier a fait savoir à Mohamed Raouraoua qu’il ne comptait pas poursuivre l’aventure, toutes les questions posées sont liées à l’identité du successeur. A Sidi- Moussa, tout le monde s’interroge quant à la succession de Gourcuff. Le dernier mot dans cette affaire revient au président de la fédération, Mohamed Raouraoua. Comme pour le recrutement de Abdelhak Benchikha, Vahid Halilhodzic et même Christian Gourcuff, c’est lui qui a tranché, contacté et négocié. Selon une source bien informée, le président de la FAF a défini les critères pour choisir le successeur de Gourcuff.
La compétence
Ainsi, la même source évoque que le premier critère est la compétence. Mohamed Raouraoua veut engager un entraîneur compétent, qui pourra qualifier la sélection nationale algérienne en Coupe du monde. Pour le président de la FAF, l’EN possède un groupe de joueurs talentueux qui peuvent offrir à l’Algérie, sa seconde coupe d’Afrique des nations au Gabon. Pour cela, il faudra un entraîneur de haut niveau pour poursuivre le travail entamé par Christian Gourcuff et qui a commencé à donner ses fruits. Il voudrait avoir un autre comme Gourcuff. Il n’est un secret pour personne que Gourcuff est incontestablement, le meilleur entraîneur français du moment. Donc, l’EN aura un coach de la même envergure que Gourcuff.
La notoriété internationale
Le président espère aussi un technicien qui a fait ses preuves à l’échelle internationale. En effet, le président veut engager quelqu’un aux performances avérées, comme Gourcuff qui a fait ses preuves avec Lorient. On ne devrait pas voir ainsi n’importe quel technicien à la tête de l’EN. Cet entraîneur doit aussi être sévère qui peut régler des cas d’indiscipline.
Solidité psychologique
Enfin le troisième critère, c’est la solidité psychologique. Raouraoua veut engager un expérimenté capable de faire face à toutes les conditions, notamment en Afrique. Raouraoua refuse d’engager un coach fragile psychologiquement en voyant les conditions de l’Afrique. Il faut une force psychologique qui accepterait la pression et les critiques des médias pour ne pas être déstabilisé.
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