ESS / Le président à Tunis pour Djabou

Il semblerait que le président de l’Entente ait pris la décision de prendre au sérieux le dossier du meneur de jeu Abdelmoumen Djabou. Pour preuve, c’est la semaine prochaine qu’il s’envolera en Tunisie en compagnie de Djabou pour rencontrer les dirigeants du Club Africain de manière officielle. Hammar a fait savoir à ses proches que le cas de Djabou reste pour l’instant compliqué car personne ne connaît les intensions des dirigeants tunisiens. Le président sétifien désire bien évidemment conclure la transaction mais il ne veut pas trop se précipiter ni s’exprimer sur le sujet du moins pas avant d’avoir discuté avec les dirigeants du club tunisien. Aux dernières nouvelles, c’est ce jeudi que les supporters de l’Entente sauront si Djabou sera de retour ou non à Sétif. D’ici là, tout peut arriver.

Le joueur a été rappelé par la direction du Club Africain 
Ayant appris qu’il s’entraîne avec l’Entente de Sétif, les dirigeants du Club Africain ont pris attache avec Djabou pour lui demander des explications. Le joueur les a rassurés qu’il s’est entraîné avec le préparateur physique uniquement sans pour autant donner des garanties à l’Entente de signer un contrat cet hiver. Par la suite, le club tunisien a fait savoir au joueur qu’il doit se présenter dans les prochaines heures à Tunis afin de poursuivre les soins et d’effectuer un nouveau diagnostic pour être de nouveau fixé sur la nature de sa blessure. 

Les Tunisiens ne sont pas contre l’idée de le libérer, mais… 
Comme tout le monde le sait, le Club Africain n’est pas contre l’idée de libérer Djabou. D’ailleurs, c’est ce qui a été rapporté dans le communiqué publié récemment. Toutefois, il est clair que son club ne bradera pas non plus son joueur. C’est dire que les négociations avec l’Entente de Sétif seront visiblement très serrées. Tout dépendra du montant de la lettre de libération qu’exigera le Club Africain. 

Hammar veut des garanties du joueur avant de négocier sa lettre de libération 
Sachant qu’il est sollicité de partout, le président sétifien veut lui aussi avoir des garanties avant de négocier la lettre de libération de Djabou. D’après nos sources, il s’est entendu avec lui afin de lui faire signer un contrat de 2 ans avec un salaire de 400 millions par mois. Le boss lui a aussi demandé de signer un engagement avant de s’envoler pour la Tunisie, histoire de se mettre à l’abri de toute mauvaise surprise. En effet, il craint que d’autres parties ne rentrent en course pour le chiper à l’Entente. 
 

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