Auteur :
S. K.
dimanche 22 novembre 2015 20:01
Décidément, le milieu de terrain Antar Boucherit n’a pas tenu longtemps, après son clash avec son partenaire Voavy. En effet, quelques jours seulement après cette affaire qui a éclaté dans les médias, le joueur a pris la décision de quitter le CSC cet hiver. Cette décision irrévocable du joueur a été prise, après la réaction des dirigeants qui ont très mal géré ce dossier. Et pour cause, Boucherit accuse les dirigeants de vouloir salir son image pour un geste qu’il n’a jamais commis dans le vestiaire. Pour sa part, Voavy affirme toujours que Boucherit l’a bel et bien insulté et agressé. Ne supportant plus d’être mal vu au sein du club, le milieu de terrain constantinois a pris la décision de partir. Il estime que cette décision est pour son bien et celui de l’équipe. Boucherit se dit ne plus pouvoir poursuivre sa mission au sein du club.
Il ne se présentera pas au conseil de discipline
Maintenant qu’il a pris sa décision de changer d’air au prochain mercato, le joueur ne se présentera pas au conseil de discipline. Le natif de Annaba estime que les dirigeants lui ont manqué de respect et qu’il n’a pas à les rencontrer pour se défendre pour un geste qu’il n’a jamais commis. Boucherit en a ras-le-bol d’être accusé à tort et à travers par les dirigeants qui s’acharnent sur lui depuis que cette affaire a éclaté dans les médias. C’est la raison pour laquelle le joueur ne répondra pas présent à l’appel de la commission de discipline.
La participation de Voavy face au DRBT, la goutte qui a fait déborder le vase
Il faut dire que ce qui a le plus irrité le joueur, c’est la participation de Voavy pour le match de championnat face au DRBT. Boucherit estime que puisque c’est le staff qui a pris la décision de le faire jouer, c’est que la direction a déjà tranché. Ce que Boucherit n’arrive pas à comprendre. Il estime que les dirigeants font du deux poids deux mesures. Il affirme qu’on a monté cette affaire seulement pour le salir et rien d’autre.
Il exigera sa lettre de libération, avant décembre
A présent, il va falloir passer à la table des négociations pour trouver un arrangement dans la résiliation du contrat. Aux yeux de nombreux observateurs, rien ne dit que les dirigeants accepteront de lui remettre sa libération gratuitement. Il va falloir trouver un accord notamment sur le montant de la libération, au moment où le joueur réclame 2 mois de salaire à la direction en renonçant aux 6 mois de salaire restant.
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