JSK : Rial blessé par les critiques !

R Depuis la défaite de samedi dernier face au CSC, Ali Rial s’est vexé suite aux nombreuses critiques à son égard. Le capitaine de la JSK, auteur pourtant d’un match correct, a très mal très mal apprécié qu’on ait cherché à lui endosser la responsabilité du but encaissé.D’ailleurs, le joueur s’est complètement lâché dans le vestiaire en faisant savoir qu’il n’était en rien responsable du but encaissé. Déjà, sa réaction a débuté juste après le match lorsqu’il est rentré dans le vestiaire dans tous ses états. Le défenseur et capitaine, sauveur de son équipe à maintes reprises la saison dernière, a dit ce qu’il avait sur le coeur à la reprise des entraîneur, une manière pour lui de crever l’abcès et d’apaiser un tant soit peu l’ambiance tendue, faut-il le dire, au lendemain de la défaite.

«Je ne savais plus qui surveiller, Boulemdaïs ou Voavy !»
Dans le vestiaire, Rial avait déclaré ceci à la fin de la rencontre : «Je ne sais pas ce qui s’est passé sur l’action du but. Je ne savais plus qui surveiller, Boulemdaïs ou Voavy ! Ce n’est pas normal. On a fait une erreur dans l’axe et sur l’action, j’avais des difficultés à me replacer par rapport aux adversaires !» , a t-il dit. Un aveu qui prouve que l’entente entre les deux défenseurs axiaux est loin d’être parfaite. Rial et Berchiche, tous deux des défeurs de qualité, vont devoir travailler un peu plus leurs repères.

Qui veut sa tête ?
Il faut dire que Ali Rial a toutes les raisons de ne pas être dans son assiettes. Il parait qu’une machination est orchestrée dans les coulisses pour faire “tomber” le capitaine, pourtant de loin le meilleur joueur la saison dernière. La preuve, il a marqué plus de buts que tous les attaquants réunis. On savait déjà que Ali Rial n’était pas en odeur de sainteté avec certaines parties, mais de là à chercher à le destituer, il y a un pas que certains tentent de franchir allégrement.

 La concurrence fait rage
Il faut dire aussi que la concurrence qu’impose le Burkinabè Malo fait que les deux titulaires, en l’occurrence Rial et Berchiche ont toutes les raisons de ne pas somnoler sur leurs lauriers. Car la possibilité de voir Kebir, coach intérimaire après la démission de Karouf, opérer un changement dans l’axe est tout aussi plausible. En tous les cas, cette situation est du genre à faire plus de bien que de mal à l’équipe pour peu que la concurrence soit loyale.
 

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