Auteur :
W .A.
jeudi 30 avril 2015 20:27
Cela fait maintenant plusieurs semaines que le dossier du latéral gauche, Zinedine Mekkaoui, est bloqué. Pour rappel, le joueur n’a plus remis les pieds à Tizi Ouzou depuis le fameux match face au Mouloudia d’Alger, où il était accusé par certains d’avoir levé le pied. Se sentant menacé par les supporters, Mekkaoui a eu peur de faire le déplacement à Tizi Ouzou. C’est à ce moment là que la direction du club a pris la décision de se passer de ses services, mais aussi de le mettre sur la liste des joueurs à libérer cet été du moment qu’il reste au concerné une année de contrat. Toutefois, et d’après la même source d’informations, le président Hannachi a fait savoir à ses proches qu’il ne compte pas le brader. De son côté, Mekkaoui est revenu à la charge ces derniers temps dans l’espoir de convaincre ses dirigeants de le libérer de manière définitive, mais en vain. La direction a refusé de céder le joueur en cette période de la saison. D’après nos sources, un dirigeant lui a fait savoir qu’il va devoir patienter jusqu’au mois de juin prochain pour négocier à nouveau sa lettre de libération.
Hannachi favorable à un échange
Même s’il ne s’est toujours pas exprimé de manière définitive sur le cas Mekkaoui, le président Hannachi aurait fait savoir à ses proches qu’il est favorable à l’idée d’un échange plutôt qu’à une simple libération. Il semblerait que le président de la JSK veuille tirer bénéfice du transfert de Mekkaoui. Dans ce cas de figure, Hannachi devra discuter avec le joueur, car dans le cas où Mekkaoui ne serait pas emballé par l’idée, cela risquerait de compliquer la situation.
Il ne percevra aucun salaire
Depuis qu’il a quitté le club, la direction a bloqué le salaire du joueur. D’après la même source, on considère Mekkaoui en abandon de poste puisqu’il n’a reçu aucune lettre lui signifiant son exclusion de la JSK. Du coup, le latéral gauche ne percevra aucun salaire jusqu’à la fin de saison. Il fera le déplacement à Tizi au mois de juin prochain pour tenter de convaincre ses dirigeants de le libérer, sans plus.
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